Auteur

Maryse Condé

Editeur

Français : Mercure de france
Coréen : Eunhaeng Namu

Traducteur : JUNG Hae-yong

Genre

Littérature française

Prix

13 000 wons

Date de parution

10.12.2019

*Cet ouvrage a bénéficié du soutien des Programmes d’aide à la publication de l’Institut français.

A propos de l’oeuvre

«Abena, ma mère, un marin anglais la viola sur le pont du Christ the King un jour de 16** alors qu’il faisait voile vers La Barbade. C’est de cette agression que je suis née…» Ainsi commence le roman de Maryse Condé consacré à Tituba, fille d’esclave, une des sorcières de Salem.

L’istoire raconte comment Tituba acquit une réputation de sorcière à La Barbade, comment elle aima et épousa John Indien, comment ils furent tous deux vendus au pasteur Samuel Parris qui les emmena à Boston puis dans le village de Salem. C’est là, dans cette société puritaine, que l’hystérie collective provoqua la chasse aux sorcières et les procès tristement célèbres de 1692.

Maryse Condé a choisi de nous parler de Tituba que l’Histoire a oubliée pour ne retenir que les sorcières blanches, celles qui furent pendues et qui inspirèrent Les sorcières de Salem, d’Arthur Miller.

De la saga africaine de Ségou, Maryse Condé raconte ici une chronique plus intimiste, une «histoire romanesque» qui reprend cependant les grands thèmes traités dans ses livres précédents : Les murailles de la terre et La terre en miette (Ségou I et II).

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